SALOMON, À TORT ET À RAISON.

SALOMON, À TORT ET À RAISON.

Le regardeur avance dans le tableau en auditeur libre. Un juge surplombe la salle d’audience, plein centre. Ce jeune souverain d’un temps ancien a revêtu la toge pourpre, un ruban-diadème maintient ses cheveux longs. Son trône doré – flanqué d’une paire de colonnes en serpentine – est surélevé par un bloc de marbre. Le piédestal est orné d’un bas-relief représentant deux griffons, une patte posée au bord d’une fontaine.

L’arbitre lui, a dégainé sa paire d’index. Le gauche vers le haut, le droit vers le bas. En imperator impartial, il pèse le pour et le contre, comme s’il tirait les fils d’une balance invisible.

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